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  • : Les Confessions de Miss Joe
  • : 16/12/2012
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  • : Parce qu'écrire est un acte thérapeutique. Soigner les maux par les mots.
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Jeudi 20 décembre 4 20 /12 /Déc 12:00
- Par Miss Joe

de-dos.jpgEn vérité, je suis une garce mal baisée la plupart du temps. Je passe toute ma frustration sur autrui dès que possible : mon mari préfère le foot à ma compagnie, je me venge sur les usagers du métro. Mes gamins n’ont aucun respect pour moi, je passe ma rage sur mes fournisseurs. Et mon patron me traite comme une moins que rien, je passe mes nerfs sur les vendeuses dans les boutiques du centre commercial qui est dans mon quartier.


Ce jour-là, je me rendis comme d’habitude dans ce fameux centre commercial faire quelques emplettes. Comme j’avais encore pris 5 kilos, je devais réajuster ma garde-robe. Mon cul était devenu tellement gras qu’aucun pantalon ne m’allait plus. J’avais passé la journée à écouter mon patron me reprocher mon manque de professionnalisme, ma lenteur, mon incompétence… J’étais donc plus que remontée. J’entrai dans mon magasin préféré, espérant tomber sur la petite vendeuse que j’avais fait pleurer deux semaines plus tôt. Manque de pot, elle n’était pas là… Ma frustration monta d’un cran. La boutique était bondée, pour cette heure et apparemment, les trois vendeurs semblaient un peu débordés. Je reconnus les deux petites poufiasses de 20 ans bêtes comme leurs pieds et supposai que la pleureuse avait été remplacée par un jeune homme très grand et baraqué. Une grande cicatrice lui barrait la joue droite. Je me fis la réflexion qu’il ressemblait plus à un videur qu’à un conseiller en vêtement pour ménagères de moins de 50 ans. En passant à côté de lui alors qu’il plaçait des jupes en rayon, je trébuchai et renversa une pile de chemises. J’étouffai un cri et héla le type. Il remplaça la pile sans un mot, me jetant une œillade rageuse. Super. La pleureuse n’était pas là, mais celui-là en prendrait pour son grade.


Pendant une demi-heure, je harcelai les deux vendeuses, qui harassées, essayaient de me fuir. Elles jetaient des regards presque suppliants au videur-vendeur qui en retour, me fusillait du regard, l’air méchant, la bouche pincée. Je jubilais mais très vite, ce petit jeu me lassa. Il n’y aurait pas de pleurs cette fois. J’entrai finalement dans la cabine d’essayage avec plusieurs jupes et pantalons. Peu de chance que ces fringues mettent mon cul énorme en valeur mais au moins, je ne me sentirais plus comme un rôti bardé.

Tout se passa alors très vite. Lorsqu’il fit irruption dans la cabine, je ne portais d’un chemisier et ma culotte. Il me poussa d’une main puissante dans le dos,  jusqu’à me plaquer contre le miroir. Mon visage s'écrasa sur la surface lisse, étouffant le cri qui me montait aux lèvres. De l’autre main, il tira sur ma culotte et se mit à me malaxer les fesses. J’avais le souffle coupé, la respiration bloquée. J’essayais de voir dans le miroir si le rideau de la cabine était ouvert mais sa tête bloquait la mienne. Je le regardais dans l’autre miroir, ébahie, n’arrivant pas à comprendre ce qui se passait.

Il se collait et se frottait violemment et silencieusement contre moi. Le rideau ne l’inquiétait visiblement pas. Ses mains griffaient mes hanches, et je sentais contre mes fesses son sexe long et dur sous le tissu de son jean. J’avais envie de crier mais je n’y arrivais pas, entre incrédulité et peur. Il arracha ma culotte, qui se déchira dans un craquement sonore et sinistre. J’entendais les bruits dans les cabines voisines et n’osa pas ouvrir la bouche. Il me regardait durement, fixement dans le miroir d’en face, pendant que du genou, il essayait de m’écarter les cuisses. Le miroir était froid, son sexe sous le jean plus dur encore. Il le pressait sur une fesse, puis l’autre, et de longues vagues de chaleur me parcouraient le corps à chaque mouvement de son bassin. Je ne pouvais ni le toucher, ni bouger, ni gémir, mais je sentais tout mon corps qui jouissait malgré moi de son balancement animal et de cette ….agression. Il arracha mon chemisier et me fit mal avec les boutons qui résistèrent à peine. Ses yeux étaient toujours plantés dans les miens, sauvages et implacables.

Je m’inquiétais d’être découverte presqu’entièrement nue dans cette cabine, à me laisser caresser et bientôt pénétrer par un obscure vendeur-videur balafré.  Je m’en inquiétais mais en réalité juste assez pour m’en exciter.

Comment pouvais-je avoir envie de le supplier de glisser sa main entre mes cuisses quand les occupantes des cabines voisines auraient pu tout entendre? J’entendais deux femmes discuter de la coupe d’un pantalon, de la couleur d’un chemisier, un mari approuver sans enthousiasme la tenue choisie par son épouse. Et j’avais douloureusement envie de gémir. Je me suis cambrée à m’en faire mal aux reins en espérant l’inciter à caresser enfin le petit appendice frémissant tout en bas de mon ventre, à contenter de ses doigts ma fente ouverte et inondée. Mais il n’en fit rien, et je n’avais pas mon mot à dire. Sur le coup, j’avais oublié mari, enfants, patron. Je compris enfin le sens de « mal baisée ». Puis il a ouvert son pantalon. Je crois qu’il ne portait rien dessous car son sexe est venu sans obstacle se frotter de nouveau contre moi. Il était tendu, brûlant, aussi dur que du bois. J’étais si excitée que je croyais sentir mon clitoris se tendre vers la jouissance. Le désir et la peur m’affolaient si fort que je crus plusieurs fois m’évanouir.

Il dut le sentir, et enfin sa main se glissa entre le miroir et mon ventre pour se poser fermement entre mes cuisses. De l’autre main il souleva sans ménagement ma jambe droite, jusqu’à me poser le pied sur le petit banc de la cabine. Mon sexe ouvert ne pouvait lui opposer aucune résistance de toute façon. Je n’entendais plus rien, ni voisins, ni voisines, ni musique dans le magasin. Il me pénétra brutalement. Je ne sais pas comment j’ai pu me retenir de crier, ni à ce moment précis, ni dans les minutes qui suivirent. Ce n’était pas un va et vient mais des coups de boutoirs. A  chaque mouvement de son bassin, son sexe quittait le mien, pour y revenir plus profondément et plus violemment. Mon ventre jouissait de chaque coup donné par ce sexe puissant. Je remuais autant que possible pour me frotter sur sa main et contenter aussi mon bourgeon gonflé. La boucle de sa ceinture battait contre mes cuisses, froide, blessante, mais elle n’entamait pas l’excitation. Ni la sienne, car il semblait ne jamais vouloir s’arrêter, ni la mienne.

Ses derniers mouvements furent moins amples, plus profonds, et je jouis, me mordant le poignet pour ne pas crier. Lui ne soupira même pas. Je le sentis se décharger en moi par longs jets. Puis il s’écarta brusquement et je trébuchai jusque sur le banc. Assise tremblante, épuisée, médusée, je le regardai refermer son jean. Il quitta la cabine sans un mot.

Ce jour-là, je repartis sans culotte, avec son foutre qui coulait le long de ma cuisse, la tête basse et rouge de honte…

Publié dans : Fanstames - Communauté : échangisme - Ecrire un commentaire
Mercredi 19 décembre 3 19 /12 /Déc 20:00
- Par Miss Joe

blanck pussyDieu fit le con, ogive énorme,

Pour les chrétiens,
Et le cul, plein-cintre difforme,
Pour les païens ;
Pour les sétons et les cautères,
Il fit les poix,
Et pour les pines solitaires,
Il fit les doigts.

 

Théophile Gautier

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