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  • : Les Confessions de Miss Joe
  • : 16/12/2012
  • Les Confessions de Miss Joe
  • : Parce qu'écrire est un acte thérapeutique. Soigner les maux par les mots.
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En live...

Vendredi 4 janvier 5 04 /01 /Jan 01:08
- Par Miss Joe

81089088 pJe me maudis d'être descendue seule dans cette bouche de métro. Je réalise qu'il n'y a pratiquement personne à cette heure tardive dans les galeries de cette ligne. Des récits d'agressions me reviennent en mémoire. Je prends conscience du danger malgré l'alcool que j'ai ingurgité chez mes nouveaux amis.


Mes pas résonnent dans le couloir désespérément vide. J'arrive enfin aux quais. Je m’assois sur un banc. En face, de l'autre côté de la voie, des jeunes à l'allure peu engageante me regardent avec insistance. Je cache mon corps autant que faire ce peut en refermant les pans de mon manteau sur moi. J'en vois trois qui se lèvent pour s'engouffrer vers la sortie. Les autres ne bougent pas mais continuent à me fixer. 
J'ai l'impression qu'ils attendent quelque chose et d'un seul coup, je réalise que ceux qui ont quitté le groupe sont peut-être en train de venir vers moi.
Je panique, me lève puis part à pas rapides pour regagner la sortie. J'entends des pas qui résonnent dans les couloirs. Ils se rapprochent. J'accélère. Je me mets à courir mais ils sont déjà sur moi.

Je sens une violente poussée dans le dos, je perds l'équilibre et m'écroule. Ma tête heurte le sol. Je suis sonnée, j'ai mal, je perds connaissance.

C'est la douleur me fait reprendre conscience, des mains m'agrippent sans ménagement, des doigts s'enfoncent dans mes cuisses, mes mollets, mes bras. J'ai mal. Le froid me mord la chair, des mains que se posent sur ma poitrine, mes seins, mon ventre et je réalise qu'on a dû m'arracher mes vêtements. Je veux crier mais aucun son ne sort. Quelque chose m’obstrue la bouche. J'étouffe à moitié. Je ne vois plus rien. Ma tête est enserrée dans quelque chose qui me cache la vue.  J'essaie de m'en débarrasser en secouant violemment ma tête dans tous les sens mais rien n'y fait. Je suis aveugle.


On m'a complètement immobilisée, on m’écarte les jambes, j'essaie de résister avec l'énergie du désespoir mais ils sont trop forts et trop nombreux. Je n'arrive pas à me défendre, les cuisses ouvertes au maximum, des mains qui me tiennent solidement aux genoux, d'autres qui plaquent mes épaules au sol, je sens les forces qui m'abandonnent de m'être tant débattue. Je suis essoufflée et désorientée. 

Des mains courent maintenant sur mon ventre, agrippent ma toison, s'infiltrent entre mes lèvres intimes puis me pénètrent sans ménagement. Des larmes jaillissent de mes yeux, j'ai peur, je résiste, je bande tous les muscles de mon ventre, je ne veux pas mais les doigts me pénètrent et s'enfoncent en moi sous les rires de mes agresseurs.

Elle est serrée la petite bourgeoise. Je passe le premier et après chacun son tour, bande d'enculés.

Pour la première fois j'entends le son d'une voix. L'homme dit aux autres : « Elle n'est plus dans les vapes, je ne veux pas me retrouver en tôle à cause de l'un de vous. On la baise et on s'en va. »

J'essaie de refermer encore une fois mes cuisses mais c'est impossible, ils sont trop forts. On me les écarte encore plus largement. Ça me fait mal, je pousse un cri de douleur, étouffée par le bâillon qui m'empêche d'appeler à l'aide.

Laisse-toi faire salope, sinon on te cogne.

Je réalise très vite qu'il est vain de me débattre car je ne fais que m'épuiser et que je risque de me faire tabasser. La peur de recevoir des coups me décide à cesser toute résistance. Je me résigne à les laisser me positionner, comme pour une poupée en chiffon. Du coup, leurs gestes sont moins brusques, moins violents. J'ai conscience de leur offrir une vue imprenable sur mon corps.

Ah ben quand même. C'est bien petite pute. On va te baiser en douceur et même te faire jouir si tu te laisses faire.

Aussitôt, les mains reprennent l'exploration de mon corps, de mon intimité. Des doigts glissent sur ma fente, l'écartent. Plusieurs me pénètrent maladroitement. La peur m'a asséché les muqueuses. Ils ont du mal à me pénétrer. Ils ressortent. On me badigeonne le sexe de salive. Des doigts étalent la bave sur mes lèvres en la faisant pénétrer à l'intérieur. Ils s'enfoncent plus facilement dans ma vulve. Je tente une dernière fois d'échapper au viol de mon intimité mais les mains qui me tiennent sont bien plus fortes que moi. Je n'ai vraiment aucune chance d'arriver à les empêcher d'arriver à leurs fins.
Plusieurs claques s'abattent sur mes cuisses, une autre me cingle la joue. La douleur me fait grimacer.

Ne bouge pas, sinon...

Je n'ai pas d'autres solutions que de les laisser m'enfiler leurs doigts à tour de rôle en faisant des bruits obscènes. Je réalise que lorsque j'essaie de me relâcher, les doigts qui me fouillent le ventre me font moins mal. On me replie mes jambes sur ma poitrine. J'ai envie de hurler ma panique. Plusieurs doigts coulissent dans ma chatte, d'autres s'attaquent à mon anus. Je ne veux pas. Je serre les fesses mais rien n'y fait au contraire, plus je résiste, plus ça me fait mal car les doigts s'enfoncent irrémédiablement en moi. Je relâche mes sphincters, deux ou trois doigts s'engouffrent profondément pour me triturer l'anus dans tous les sens.

Mes agresseurs ne parlent presque pas sans doute pour éviter que je ne puisse reconnaître leurs voix. Je n'ai aucune idée de leur nombre. Je me souviens qu'ils étaient trois à quitter le groupe. Je n'arrive plus à réfléchir, à aligner deux pensées cohérentes. Je suis transie de peur. Ils vont me violer. Mais après, que vont-ils me faire pour me réduire au silence ? J'envisage le pire et j'ai beau essayer de crier, d'appeler à l'aide, aucun son ne s'échappe du bâillon. 


Des mains me pelotent vigoureusement les seins, me pincent les tétons à me faire mal.J'ai le sexe écartelé par plusieurs doigts. Mon anus ne vaut guère mieux. Je sens qu'on me soulève à nouveau. On me débarrasse de mon manteau. Le froid me mord les chairs. On me repose sur un corps. Le gars me saisit aux hanches pour me plaquer contre lui tandis que je sens quelque chose de dur se glisser entre mes fesses. On me maintient fermement. Impossible d'échapper à la pénétration. Le gland s'engouffre dans mon anus. C'est énorme. Le mec me file plusieurs coups de reins pour arriver à me sodomiser complètement. Il s'immobilise, profondément ancré entre mes fesses. Des larmes jaillissent à nouveau de mes yeux. Je pleure de douleur et de honte. Un inconnu est en train de me sodomiser. Je sens sa bite dans mon cul.

Elle a l'habitude de se faire enculer cette salope. T'as vu. C'est rentré comme dans du beurre. Défonces-lui le cul. Je suis sûr qu'elle va jouir cette petite pute. Je vais la baiser en même temps.

Un autre corps se colle à mes fesses. Un gland se positionne dans l'entrée de ma vulve. Ma chatte ne peut résister à l'assaut. Il s'enfonce sans résistance dans mon ventre. Je sens les deux queues en moi. Jamais je n’ai été aussi remplie que cela. Ils vont m'ouvrir en deux. Ils commencent à bouger, à coulisser en moi. Je suis prise en sandwich entre deux inconnus montés comme des ânes. Il y a longtemps que j'ai compris qu'il était inutile de résister. Mes agresseurs l'ont compris aussi, se contentant de me baiser à grands coups de reins. Quelqu'un m'enlève le bâillon et le tissu qui m'obstruait la bouche.

L'homme sous moi souffle de plus en plus fort. Sa queue est raide comme du bois. D'un seul coup, des lèvres se posent sur les miennes. Une langue butte contre mes dents, j'ai peur de prendre encore des coups, j'ouvre la bouche. Elle s'y engouffre, trouve ma langue, s'y frotte, s'y enroule. Je suis prise de partout.
Une voix me souffle à l'oreille :
Et ne mords salope sinon ça sera la dernière fois que tu serviras de tes dents.

L'homme qui me prend par devant souffle comme un goret. Il m'assène de violents de reins. Il se met à jouir en s'enfonçant le plus possible en moi. Je sens son sexe se cabrer en m'inondant le ventre. Il se retire aussitôt. Un autre prend sa place. Il s'enfonce en moi plus difficilement, il est gros, bien plus gros que le premier. Heureusement le sperme de son acolyte sert de lubrifiant. Il me fait changer de position en dépliant mes jambes repliées sur ma poitrine pour les écarter et lui permettre de s'allonger sur moi. Il me baise puissamment. Mes chairs s'ouvrent au maximum. Malgré moi, je laisse échapper des plaintes à chaque fois qu'il propulse son mandrin dans mon ventre. J'essaie de me relâcher au maximum pour ne pas avoir mal mais je me rends compte au bout de quelques allers-retours que ses couilles buttent maintenant contre mes fesses. Il a réussi à m'embrocher jusqu'à la garde.

Elle va prendre son pied, cette salope. Ecoutez-là couiner quand je la pine.
T'as raison, elle aime ça cette cochonne.

Je le sens sur le point de jouir lorsqu'il s'arrête, se retire et dit à l'autre :

Sors ta queue. Je veux son cul aussi.

L'autre me libère. On me fait basculer sur le côté. On me met quatre pattes. Plusieurs claques me cinglent les fesses et les reins.

Donnes-moi ton cul, salope. Je vais t'enculer comme tu le mérites. A quatre pattes, comme une chienne. Tu vas adorer.

Une main m'appuie fermement sur les reins pour me forcer à me cambrer au maximum. Il a déjà son gland à l'entrée de mon anus. Le passage est grand ouvert. Il appuie, plante son gland dans l'entrée puis d'un coup de reins autoritaire s'enfonce entre mes fesses. Je m'entends gémir sous l'assaut. Il me bourre à grands coups de reins. Mes râles se mêlent à ceux de mon agresseur.

Elle aime çà, cette salope. Elle prend son pied.

Après quelques allers retours, mon anus a pris la mesure de l'énorme mandrin. Il coulisse comme dans du beurre. Je feins d'avoir encore mal. L'homme entre mes fesses se raidit. Il va se vider dans mon cul. Tout à coup, il se met à jouir bruyamment en m'insultant copieusement. Il se retire brutalement, laissant mon anus totalement dilaté.

Un autre type s'installe entre mes jambes. Il m'écarte les genoux avec les siens sans ménagement, pose sa bite dans mon trou béant et me pénètre à son tour. Il s'agrippe à mes hanches et se met à me secouer violemment. Je crie. Je l'insulte. Ils se mettent à rire en me balançant d'énormes claques sur les fesses. Une gifle me fait taire. Une main se faufile entre mes cuisses, glisse vers mon sexe dégoulinant de salive et de sperme...

Le deuxième agresseur  accélère la cadence. Je sens qu'il va jouir à son tour. Il s'immobilise au plus profond de moi en gueulant. Je hurle. Il me remplit le cul de sa semence en grognant puis tombe sur le côté. Je suis au bord de la crise de nerfs. J'éclate en sanglots mais le 3ème type n'en a cure. Il s'installe entre mes jambes, cherche mon vagin avec sa queue puis d'un coup de reins, s'enfonce dans ma vulve. Il me besogne sans ménagement. Il m'écarte les fesses en me baisant. Il enfonce ses doigts dans mon anus. Je ne sais pas combien mais ils coulissent facilement.

Je perds pieds. Je m'écroule hors du temps, inconsciente, sentant encore à peine la main qui s'agite entre mes fesses.
Je l'entends jouir, comme dans un rêve. Il crie, ça résonne dans ma tête engourdie. Je sens qu'on me retourne sur le dos. Quelqu'un s'allonge sur moi, replie mes jambes et me les écartes en grand s'y appuyant de tout son poids. Une bite s'engage dans ma vulve, me pénètre et les va-et-vient reprennent. Je suis exténuée. Je me laisse faire docilement. L'homme me prend sauvagement. Je gémis doucement. De longues minutes s'écoulent. J'ai le sexe en feu. J'ai mal partout. L'homme se raidit. Il jouit en poussant des gémissements ridicules. Il se retire, se relève et s'en va.

Je pense que c'est enfin terminé mais je sens qu'un autre gars s'installe à nouveau entre mes jambes. Il me soulève les jambes, pointe sa bite vers mon anus en feu qu'il investit d'un grand coup de reins. Je n'ai pas la force de protester et de toute manière ça ne servirait à rien d'autre qu'à les exciter.

L'homme me tient solidement par les hanches pour m'attirer vers son pieu à chaque fois qu'il s'enfonce en moi. Je suis remplie de foutre,  je dégouline de partout. Il coulisse facilement dans mes entrailles mais ça me brûle malgré tout.
Je ne réagis pas et le laisse me sodomiser sans broncher. Il est tellement excité qu'en peu de temps il se met à gémir puis, à jouir comme son prédécesseur. Il se retire de mon anus blessé, en me claquant les fesses.

Merci ma petite dame. C'était bien bon.

Je m'attends à ce qu'un autre vienne prendre sa place mais rien ne se passe. Les mains qui me maintenant plus ou moins au sol m'ont quitté, des commentaires grivois fusent. Ils s'éloignent rapidement. Une porte métallique s'ouvre, les bruits de pas de plus en plus loin. Se pourrait-il qu'ils se soient décidés à mettre fin à mon calvaire tout simplement ? J'essaie de me relever difficilement, j'ai mal partout. J'arrache l'écharpe qui me servait de bandeau, il n'y a plus personne. Je regarde autour de moi, au fonds de la pièce qui semble être une sordide remise du métro, une porte entrouverte d'où provient une lumière jaune orange. C'est la sortie vers les couloirs du métro. C'est fini. J'éclate en sanglots pour courir vers la lumière. 

 

Publié dans : Fanstames - Communauté : Le sexe sans tabous - Ecrire un commentaire
Jeudi 3 janvier 4 03 /01 /Jan 22:25
- Par Miss Joe

tumblr_lcgyconZCE1qb9cz3o1_1280.jpgArrivé devant la porte du vice consulat de Serbie, Mony pissa longuement contre la façade, puis il sonna. Un Albanais vêtu d’une fustanelle blanche vint lui ouvrir. Rapidement, le prince Vibescu monta au premier étage. Le vice-consul Bandi Fornoski était tout nu dans son salon. Couché sur un sofa moelleux, il bandait ferme ; près de lui se tenait Mira, une brune monténégrine qui lui chatouillait les couilles. Elle était nue également et, comme elle était penchée, sa position faisait ressortir un beau cul bien rebondi, brun et duveté, dont la fine peau était tendue à craquer. Entre les deux fesses s’allongeait la raie bien fendue et poilue de brun, on apercevait le trou prohibé rond comme une pastille. Au-dessous, les deux cuisses, nerveuses et longues, s’allongeaient, et comme sa position forçait Mira à les écarter, on pouvait voir le con, gras, épais, bien fendu et ombragé d’une épaisse crinière toute noire. Elle ne se dérangea pas lorsque entra Mony. Dans un autre coin, sur une chaise longue, deux jolies filles au gros cul se gougnottaient en poussant des petits « Ah ! » de volupté. Mony se débarrassa rapidement de ses vêtements, puis le vit en l’air, bien bandant, il se précipita sur les deux gougnottes en essayant de les séparer. Mais ses mains glissaient sur leurs corps moites et polis qui se lovaient comme des serpents. Alors voyant qu’elles écumaient de volupté, et furieux de ne pouvoir la partager, il se mit à claquer de sa main ouverte le gros cul blanc qui se tenait à sa portée. Comme cela semblait exciter considérablement la porteuse de ce gros cul, il se mit à taper de toutes ses forces, si bien que la douleur l’emportant sur la volupté, la jolie fille dont il avait rendu rose le joli cul blanc, se releva en colère en disant : 
 Salop, prince des enculés, ne nous dérange pas, nous ne voulons pas de ton gros vit. Va donner ce sucre d’orge à Mira. Laisse nous nous aimer. N’est ce pas Zulmé ? 
 Oui ! Toné ! répondit l’autre jeune fille.

Extrait des onze mille verges - 

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