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  • : Les Confessions de Miss Joe
  • : 16/12/2012
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  • : Parce qu'écrire est un acte thérapeutique. Soigner les maux par les mots.
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Mercredi 13 mars 3 13 /03 /Mars 17:52
- Par Miss Joe

Fiere.jpg Lundi 5 août

La chaleur avait craquelé la terre de ta tombe et desséché toutes les fleurs… Tu devais étouffer, là-dessous !...

J’ai couru chercher de l’eau à la fontaine. L’arrosoir était si pesant que j’ai dû le porter à deux mains. J’ai fait plusieurs voyages, tant la terre était assoiffée. J’avais mal aux reins et aux mains.

Je me suis mise sur la pierre tombale voisine, tu sais, celle de ce poète dont nous n’avons jamais réussi à trouver le moindre recueil. Ma robe noire était si mouillée qu’elle me collait au corps. J’étais plus que nue, d’autant qu’avec cette chaleur je n’avais rien dessous. Je me suis tournée vers toi, j’ai remonté ma robe et ouvert mes cuisses pour que tu voies bien ma toison et ma fente. Je l’ai écartée comme tu aimes que je le fasse. C’était bon de sentir ton regard sur moi… La rugosité de la pierre me meurtrissait les fesses. Je me suis trémoussée lentement, puis de plus en plus vite, sans oublier de m’ouvrir, jusqu’à ce que j’aie mal, puis… j’ai crié en refermant les cuisses sur le plaisir que tu m’avais donné.

Cela a fait peur à Lulu, tu sais, l’idiot qui s’occupe du cimetière, car il s’est enfui, tenant sa grosse queue violacée entre ses mains, en couinant comme un porc… J’ai eu raison, n’est-ce pas, de ne pas le chasser ? Tu avais bien vu qu’il nous observait ?

Je suis rentrée à la maison, fatiguée, mais heureuse de ce temps passé avec toi.

Je ne sais pas pourquoi, malgré la chaleur, je me suis réveillée en claquant des dents.

Reviens vite ! J’ai froid sans toi dans notre grand lit

 

Régine DESFORGES (extrait de l'Orage)

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Jeudi 17 janvier 4 17 /01 /Jan 00:28
- Par Miss Joe

ma-tendre-putain.jpgTes mains introduiront mon beau membre asinin
Dans le sacré bordel ouvert entre tes cuisses
Et je veux l'avouer en dépit d'Avinain
Que me fait ton amour pourvu que tu jouisses

Ma bouche à tes seins blancs comme des petits suisses
Fera l'honneur abject des suçons sans venin
De ma mentule mâle en ton con féminin
Le sperme tombera comme l'or dans les sluices

O ma tendre putain tes fesse ont vaincu
De tous les fruits pulpeux le savoureux mystère
L'humble rotondité sans sexe de la terre

La lune chaque mois si vaine de son cul
Et de tes yeux jaillit quand tu les voiles
Cette obscure clarté qui tombe des étoiles

Appolinaire

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