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  • : Les Confessions de Miss Joe
  • : 16/12/2012
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  • : Parce qu'écrire est un acte thérapeutique. Soigner les maux par les mots.
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Mercredi 9 janvier 3 09 /01 /Jan 20:55
- Par Miss Joe

82140171 pMardi. 

Ma chérie, ma reine Éros,

Vraiment, chaque rencontre est une surprise. Tu me combles de tes bienfaits, de ton audace. Aujourd’hui, dès ton arrivée, j’ai senti comme une tension, une lueur dans tes yeux. Je sais ce que cela signifie. Chaque fois que tu as ce regard, je sais que tu es toute chaude. Je ne comprends pas comment les gens que tu côtoies ne ressentent pas cette envie de sexe que tu dégages. Comme d’habitude, il a fallu attendre que les autres partent pour nous retrouver.

 — Viens, viens… 

Ton appel est pressant. Tu es nue, allongée sur le bureau que d’un mouvement tu as débarrassé des documents qui le recouvraient. Les pieds en appui sur le bord, tu offres ton intimité, ouverte, provocante.

— Suce-moi, lèche-moi ! Qui résisterait à une telle demande ?

— Oui, oui…

C’est la récompense de mes efforts sur ta chatte et ton petit bouton. Mais tu saisis ma tête avec tes mains et je sens que tu me guides vers un autre endroit. Mes lèvres découvrent le petit bourrelet de chair, fermeture efficace de ton anus. Aucune ambiguïté ; ta pression sur ma tête délivre le message. J’obéis avec délice. Tu m’offres ce que tu as de plus secret : ce fruit défendu si désiré, que tout amant rêve de conquérir. Ma langue et mes lèvres rivalisent de caresses. Ta rose palpite, preuve de ma dextérité. Le bout pointu de ma langue me sert de coin de chair pour entrouvrir le passage. L’anus s’assouplit, les muscles se relâchent. Tu attrapes ma main pour la porter à ta bouche et sucer mes doigts d’une façon si sensuelle que tu ferais bander un eunuque. Tu me libères.

Je n’oublierai jamais le soupir que tu pousses lorsque mon pouce te pénètre. Voilà : tu n’es plus vierge. Chaque doigt prend le chemin, l’un après l’autre. C’est de plus en plus facile. Je veille à toujours ajouter de la salive, au point que des gouttes tombent sur le bord de la table.

— Viens, viens…

Tu me signifies que tu te sens prête. Je me redresse, empoigne tes jambes pour les repousser vers ta poitrine, dégageant encore plus l’objet de notre plaisir. J’hésite avant de pousser mon gland. Je te regarde dans les yeux. Tu peux encore me demander d’arrêter. Non ; ton regard est trouble. Tu es déjà partie dans ton fantasme. Pression de plus en plus forte. L’anus résiste mais ma queue est si raide qu’elle ne fléchit pas ; et d’un seul coup, j’entre.

— Aïe ! Cri de douleur vite oublié. J’attends un instant, puis je reprends ma poussée. La hampe avance inexorablement. Je crois que même si tu avais dit non à cet instant, je n’aurais pas pu arrêter ma progression. Le sentiment de possession est si fort ; cette impression que le tunnel se crée sous l’action de ma queue me ravit.

Quel plaisir d’être dans ton cul ! Quel plaisir de savoir que je suis le premier, car c’est le cas, n’est-ce pas ? Tu es si étroite que c’en est presque douloureux. Heureusement, tu te détends. Ta respiration reprend, plus calme, plus sereine. Tu sais que le plus dur est passé, que maintenant le plaisir va venir. Nouveau, inattendu, différent.

Mon pieu prend la mesure. Je bouge doucement pour nous habituer, mais c’est si bon que très vite j’accélère et là, un cadeau du Ciel : ton cri annonciateur de ta jouissance. Ta première jouissance par ce chemin. Mais pas la dernière, car nous allons recommencer, n’est-ce pas ?

 

 

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Lundi 7 janvier 1 07 /01 /Jan 23:26
- Par Miss Joe

milf.jpg Il y a 5 ans, alors que mon mari et moi venions de fêter nos 40 ans, nous avons décidé de mettre du piquant dans notre vie sexuelle. Après tout, 21 ans de mariage, il faut entretenir la flamme ! J'ai donc pris l'habitude de ne plus mettre de petite culotte et parfois, de me mettre un plug pour que le soir, après une dure journée de travail, Monsieur puisse se frayer un chemin rapide vers le 7ème ciel. Après quelques semaines, je ne pensais même plus à mettre de lingerie sauf des porte-jarretelles, si le temps l'exigeait. Ainsi, le jour où je dus, avec 5 autres parents, jouer les chaperons à une soirée réservée à nos enfants adolescents, c'est sans réfléchir que je partis cul nu sous ma robe....

La soirée battait son plein. Je dansai plusieurs fois avec mon fils de 17 ans, avec deux des pères de famille également en mission d’encadrement et même avec une fillette de 13 ans que personne n’invitait à danser ! Mais à plusieurs reprises, un adolescent de l’âge de mon fils m’invita à danser des slow. Il était très grand, très mince et avait des traits étonnement fins, presque féminins… Vers la fin de la soirée, le DJ devait commencer à fatiguer de mettre l’ambiance. Il s’amusa à passer des slow de plus en plus mièvres, les lumières s’étaient tamisées par magie (magie étant une fille de 15 ans dont les seins pointaient comme des abus) et je vis même mon fils emballer sa petite amie, pensant que personne ne les voyait…

A nouveau, l’adolescent maigrichon m’invita à danser. A la fin du 1er slow, j’eus l’impression que sa main effleurait mes courbes. Il passait les mains sur mes hanches, sur ma taille et dans mon dos. Mais très subtilement. A tel point que je pensais même me faire des idées.

A la moitié du deuxième slow, je n’eus plus de doutes. Il me serrait encore plus contre lui, mes seins s’écrasant contre son torse. J’essayai de m’éloigner de lui en douceur mais il me chuchota à l’oreille « Non ». Ce simple mot, dit à voix basse, presque gutturale, me fit l’effet d’une décharge électrique. Je ne peux, aujourd’hui encore, me l’expliquer. Très lentement, il me menait en dansant vers le coin le plus sombre de la salle. Il glissa une cuisse entre les miennes et nous continuâmes à danser. Sa jambe frottait doucement contre mon sexe. Je me sentais rouge et transpirante. Excitée. Elégamment, il me fit faire une petite pirouette. J’en profitai pour jeter un œil autour de nous. Deux des parents dormaient tête contre tête sur des chaises à côté de la piste, les autres dansaient, les enfants aussi.

A la fin du 3ème slow, il glissa une main délicate sur mes fesses, s’y attardant quelques secondes. Il soupira contre mon oreille. Il venait de constater mon absence de lingerie… Il s’éloigna un peu de moi et je sentis qu’il défaisait sa braguette. Mon cœur battait la chamade, mon sexe était humide de sueur et de mouille mêlée. Il souleva discrètement le devant de ma robe et se plaquant contre moi, mit son sexe entre mes cuisses. Juste à ce moment, j’eus un orgasme aussi foudroyant qu’inattendu. Je chancelai, assommée. Il me retint d’une main ferme, nous fit faire une pirouette élégante. Je sentais son sexe long et dur comme la pierre glissé en un lent va et vient contre ma chatte désormais trempée et gonflée. Nous dansâmes de plus en plus vite, sa bite adolescente de plus en plus plantureuse frottant contre mon clito, entre mes cuisses humides. A un moment, j’eus un nouvel orgasme, et je le sentis se décharger à son tour. Il lâcha un long soupire contre mon oreille et de décollant de moi, me demanda de le rejoindre au 1er étage 5 minutes plus tard.

Je n’y réfléchis pas deux fois. Profitant de la séance de slow qui n’en finissait pas, je rejoins cet adolescent, beau comme une fille dans un placard à balai au 1er étage de la salle communale. Il me pencha par-dessus un meuble bas et sans attendre, enfonça son sexe turgescent en moi. Je soupirai de plus en plus rapidement, alors qu’il s’accrochait à mes hanches. Je sentais ses testicules battre contre ma chatte, existant mon clito. A un moment, il pelotonna mes seins par-dessus ma robe puis s’accrocha à nouveau à mes hanches, matraquant de plus en plus vigoureusement.  Son sexe était dur et doux en même temps, il boutait au fond de ma chatte de plus en plus fort. N’y tenant plus, je jouis à nouveau, mordant mon avant-bras pour ne pas crier. Il dut s’en rendre compte, redoubla de vigueur. Oh Dieu, cette fougue, cette jeunesse… Il sortait entièrement son sexe et le rentrait profondément dans ma chatte, s’éclatant au fond de moi, encore, encore, encore. Mes fesses claquaient contre son ventre plat, ses couilles gonflées contre mon clito qui n’était pas en reste. A un moment, il poussa un gémissement qui ressemblait presque à un cri de souffrance et il éjacula à longs traits chauds sur mes fesses.

J’essayai de reprendre mon souffle, alors que je l’entendais s’affairer derrière moi. Il m’essuya les fesses et le dos avec un tissu rêche et dit avant de partir : «  je n’en parlerai à personne ». 

 

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