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  • : Les Confessions de Miss Joe
  • : 16/12/2012
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  • : Parce qu'écrire est un acte thérapeutique. Soigner les maux par les mots.
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Mercredi 16 janvier 3 16 /01 /Jan 21:06
- Par Miss Joe

80771726_p-copie-1.jpgJeudi.

Ma douce,

Tu dois bien te douter que ta lettre m’a surpris et qu’un instant le ciel m’est tombé sur la tête. Pourtant, je savais que notre relation était basée sur le sexe et jamais tu ne m’as laissé croire que des sentiments pouvaient exister de ton côté. Probablement que cet accord tacite formait ce socle sur lequel notre sexualité pouvait s’exprimer sans contraintes ni tabous. 

Bien sûr, je respecte ta décision et tu peux compter sur moi pour ne jamais parler à quiconque de notre liaison. 

Mais je veux te dire combien ta lettre m’a touché. Une lettre d’amour qui, malheureusement, ne m’est pas destinée. Je ne sais pas si tu as conscience de ce que tu m’as écrit pour justifier ta rupture ; peut-être… En réalité, c’est un hymne à l’amour que tu portes à ton mari. C’est à lui qu’il faudrait l’envoyer.

J’exagère ? Tu crois ? Tiens, je te cite certains passages :

« J’ai eu si peur de perdre mon mari qu’en un instant, tout l’amour que j’avais pour lui et qui s’était dilué dans la vie de couple, a ressurgi comme au premier jour. »

« Bien sûr, je savais qu’il me trompait. Des préservatifs oubliés dans les poches, des traces de rouge à lèvre, du parfum ; tous ces détails étaient des preuves suffisantes. Mais je comprenais qu’il avait besoin de cela pour tenir lorsqu’il était en déplacement loin de la maison. »

« Sa véritable maîtresse, la vraie concurrente, c’est son travail. » 

« Si j’ai pris un amant, c’était pour pouvoir me consacrer totalement à mon mari. Aussi étrange que cela paraisse, ma liaison qui me comblait physiquement me laissait calme et détendue, entièrement attentive et disponible pour ma famille. »

« Ce qui me chagrine le plus, c’est que tout ce que j’ai appris avec toi, je n’ai jamais osé le faire avec mon mari. Et pourtant, combien de fois j’aurais aimé pouvoir me transformer en maîtresse experte pour satisfaire tous ses désirs, avoués et inavoués… »

Et le pompon ! La phrase à travers laquelle tu n’as certainement pas perçu la profondeur de ton engagement :

« Je l’aime tant, et je crois que s’il amenait une femme à la maison, une maîtresse, j’accepterais. Je ferais tout ce qu’il exigerait de moi. Les pires bassesses, les pires humiliations, pourvu que je puisse rester à ses côtés. » 

Je me demande si ton mari te mérite et s’il a conscience de la personne qui vit à ses côtés.

Ma Reine, je te souhaite tout le bonheur imaginable.

Publié dans : Fanstames - Communauté : échangisme - Ecrire un commentaire
Vendredi 11 janvier 5 11 /01 /Jan 22:03
- Par Miss Joe

 

mouilleSes maux, ses mots… Rien ne pouvait mieux soigner ses maux que ma langue.

Je pose les mains sur ses hanches, et embrasse la peau douce et lisse de son ventre. Une pluie de baisers, légers comme des papillons, descendant vers son pubis.

J’écarte doucement ses cuisses fuselées et laisse courir le bout de mes doigts le long de l’aine, puis dans le creux de ses hanches.

Une bruine de baisers, légers comme la brume. J’effleure longuement l'intérieur de ses cuisses, parcourant le bleu de ses veines palpitantes de mes lèvres closes.

Ses mots : elle murmure, soupire, exhale, frisonne…

Je remonte vers son sexe et l’embrasse très doucement, presque imperceptiblement, comme un rêve, une illusion.

A nouveau, j’effleure ses cuisses, baise son ventre, j’étreins ses hanches, lui mordille l’aine.

J’embrasse son sexe offert. Du bout de la langue, je commence à écarter ses lèvres, léger comme une plume.

Ses mots : elle halète, tremble, geint.

A nouveau, je touche son ventre, pince ses seins dressés et fiers.

J’écarte ses lèvres en passant ma langue à l'intérieur de son sexe, de haut en bas, de bas en haut. Du bout des doigts, j’écarte ses pétales, et découvre son clitoris. J’effleure son bouton d’or. Très doucement, je savoure le pourtour du bourgeon et la peau claire qui le protège.

Ses mots : elle crie, grogne, inspire.

Les lèvres de son sexe sont comme les lèvres de sa bouche. Je l’embrasse amoureusement. J’embrasse, mordille chaque lèvre, les prends toutes entières dans ma bouche… Ma langue se fait tour à tour large, puis pointue pour ne stimuler que son clitoris.

Ses mots : elle vient.

Ma bouche enserre son bourgeon. Tout en suçotant de plus en plus goulûment, deux doigts se glissent en elle. Son corps humide et brûlant me happe. Encore, encore, encore. J’écoute sa respiration, elle ahane. Je sens l’orgasme venir. Ses cuisses se ferment sur ma tête, comme un étau.

Ses mots : elle jouit.

Ses maux : elle m’aime.

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