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  • : Les Confessions de Miss Joe
  • : 16/12/2012
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  • : Parce qu'écrire est un acte thérapeutique. Soigner les maux par les mots.
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Jeudi 3 janvier 4 03 /01 /Jan 22:25
- Par Miss Joe

tumblr_lcgyconZCE1qb9cz3o1_1280.jpgArrivé devant la porte du vice consulat de Serbie, Mony pissa longuement contre la façade, puis il sonna. Un Albanais vêtu d’une fustanelle blanche vint lui ouvrir. Rapidement, le prince Vibescu monta au premier étage. Le vice-consul Bandi Fornoski était tout nu dans son salon. Couché sur un sofa moelleux, il bandait ferme ; près de lui se tenait Mira, une brune monténégrine qui lui chatouillait les couilles. Elle était nue également et, comme elle était penchée, sa position faisait ressortir un beau cul bien rebondi, brun et duveté, dont la fine peau était tendue à craquer. Entre les deux fesses s’allongeait la raie bien fendue et poilue de brun, on apercevait le trou prohibé rond comme une pastille. Au-dessous, les deux cuisses, nerveuses et longues, s’allongeaient, et comme sa position forçait Mira à les écarter, on pouvait voir le con, gras, épais, bien fendu et ombragé d’une épaisse crinière toute noire. Elle ne se dérangea pas lorsque entra Mony. Dans un autre coin, sur une chaise longue, deux jolies filles au gros cul se gougnottaient en poussant des petits « Ah ! » de volupté. Mony se débarrassa rapidement de ses vêtements, puis le vit en l’air, bien bandant, il se précipita sur les deux gougnottes en essayant de les séparer. Mais ses mains glissaient sur leurs corps moites et polis qui se lovaient comme des serpents. Alors voyant qu’elles écumaient de volupté, et furieux de ne pouvoir la partager, il se mit à claquer de sa main ouverte le gros cul blanc qui se tenait à sa portée. Comme cela semblait exciter considérablement la porteuse de ce gros cul, il se mit à taper de toutes ses forces, si bien que la douleur l’emportant sur la volupté, la jolie fille dont il avait rendu rose le joli cul blanc, se releva en colère en disant : 
 Salop, prince des enculés, ne nous dérange pas, nous ne voulons pas de ton gros vit. Va donner ce sucre d’orge à Mira. Laisse nous nous aimer. N’est ce pas Zulmé ? 
 Oui ! Toné ! répondit l’autre jeune fille.

Extrait des onze mille verges - 

Publié dans : Poêmes - Communauté : Le sexe sans tabous - Ecrire un commentaire
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