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  • : Les Confessions de Miss Joe
  • : 16/12/2012
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  • : Parce qu'écrire est un acte thérapeutique. Soigner les maux par les mots.
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Mercredi 2 janvier 3 02 /01 /Jan 20:51
- Par Miss Joe

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Ma chérie, ma maîtresse,

Ton opération et ta coquetterie de ne pas te montrer avant d’être entièrement remise m’avaient privé de ta présence pendant six interminables semaines. J’espère que toi aussi tu étais impatiente de nos retrouvailles. En tout cas, le jeu en valait la chandelle et laisse-moi te dire à nouveau combien ta nouvelle poitrine augmente encore ta sensualité. Le choix est parfait. La taille, l’écartement, la forme : tout est en harmonie. J’ai bien remarqué qu’en entrant dans la salle, les hommes te suivaient du regard ; j’aurais voulu pouvoir crier à tous que tu m’appartiens. Car tu m’appartiens, n’est-ce pas, de la même façon que je t’appartiens aussi ? Notre relation est si forte et dure depuis si longtemps…

Le cours m’a semblé durer une éternité et j’ai attendu avec impatience que tous partent pour que tu puisses venir me rejoindre dans le vestiaire privé des moniteurs. Tu étais encore en tenue de sport avec des traces de transpiration qui plaquaient ton tee-shirt à certains endroits de ton corps. Une vraie pousse-au-crime ! Mais tu n’as pas voulu que je t’approche alors que je n’avais qu’une envie, te serrer dans mes bras, sentir ta poitrine contre mon torse et te faire sentir cette bosse énorme que formait mon pénis impatient.

 « Non, pas touche ! » m’as-tu dit en me poussant pour me faire tomber dans le fauteuil défoncé qu’un moniteur avait amené depuis des lustres.

« Pas touche ! » toujours, pendant que mon polo, mon short et mon slip tombaient au sol, retirés par tes mains expertes. Alors tu t’es transformée en effeuilleuse, faisant durer chaque instant avant de libérer centimètre après centimètre ton corps de ses vêtements. Et le moment où, seulement vêtue d’un vilain soutien-gorge de sport, tu l’as dégrafé pour enfin faire apparaître devant mes yeux ces deux lobes magnifiques, fièrement dressés comme une poitrine d’adolescente…

« Pas touche ! » Seules mes lèvres et ma langue ont eu le droit d’approcher de ces merveilles. En tout cas, tu n’as pas perdu cette sensibilité que j’aime tant de tes tétons dressés comme des petites bites horizontales.

Que dire de ce moment où tu t’es agenouillée devant moi pour prendre ma verge entre tes lèvres et la recouvrir d’une abondante salive ? Que dire du moment où tu as guidé mon sexe entre tes lobes magnifiques que tes mains pressaient pour former le plus merveilleux, le plus doux des sillons ? Combien de temps as-tu branlé ma queue dans ce conduit magique, montant et descendant, infatigable maîtresse aux muscles d’acier ?

Oh, combien tu mérites ton prénom, provoquant une vague de plaisir qui me submerge et déclenche mes jets de sperme que tu recueilles pour étaler sur tes seins ! Je serais tellement fier si mon élixir avait une action nourrissante sur ta peau de déesse.

Publié dans : Fanstames - Communauté : échangisme - Ecrire un commentaire
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